Il y a deux semaines…je participais au week-end Compex dédié au triathlon. L’objectif ? Nous proposer un stage permettant de se perfectionner aux 3 disciplines avec les conseils d’une triathlète professionnelle Charlotte Morel.
[ Arrêt sur image…oula mais qu’est-ce qu’elle nous a fait la Dewoods ? Elle s’est perdue ? A vu de la lumière… depuis quand se met-elle au triathlon??? ]
Ahah ! Tu ne la voyais pas venir celle-là, n’est-ce pas ! Non je n’abandonne pas mes montagnes adorées et je suis toujours raide dingue du trail et de la randonnée. Respire. MAIS, parce qu’il y a un MAIS, j’ai été séduite par ce week-end et l’envie de (rererere) laisser sa chance au triathlon. Pour rappel, j’avais acheté mon vélo il y a deux ans maintenant. Pris quelques cours de natation. Et puis … plouf. Trop de gamelles avec mes pédales automatiques, peu de plaisir à rouler sur Paris, ou à boire la tasse dans des lignes plus blindées que la 13 en pleine heure de pointe. J’ai lâché l’affaire.
Et puis…la proposition de Compex qui me prend totalement par surprise ! Pourquoi pas…cela me redonnera peut-être goût à la natation et au vélo, et dans tous les cas me permettra d’en apprendre plus sur Compex, leader dans l’électrostimulation.
Alors si je dois résumer ce week-end, chargé en électrodes et en kilomètres je dirais simplement qu’il fût enrichissant, plein de belles rencontres et surtout que le produit m’a totalement convaincue et que je suis très heureuse de pouvoir le tester sur les prochains jours.
Avant d’aller plus loin, soyons clairs et totalement transparents, je ne reçois pas d’argent ou de rémunération quelconque pour cet article. C’est-à-dire, pour être totalement claire, que si le boîtier et son utilisation ne me convenaient pas, que je pensais sincèrement que mettre 1000e dans ce petit bijou était une dépense totalement aberrante ou autre…je serais totalement libre de le dire aussi. Voilà, c’est dit. Tu peux donc lire les prochaines lignes sans te demander si je vante les mérites de Compex pour amortir mes frais d’ostéo ou si c’est réellement mérité.
Une fois que c’est dit, que tu es plus serein, concentrons nous sur les deux sujets du jour : le triathlon et compex !
Le triathlon, une discipline exigeante
Merci pour cette banalité affligeante. Je pourrais clôturer ce paragraphe en signant d’un magnifique « l’iron man c’est vraiment pas facile » et voilà. RAS. Merci pour ta lucidité et ton article à haute valeur ajoutée. Bon arrêtons le second degré. Ce weekend m’a remis dans le bain du triathlon, ou plutôt dans la pataugeoire version bébé nageur compte tenu de mon niveau. Les premières heures ont été un peu difficiles, le syndrome d’imposture étant aussi coriace qu’une bonne grippe hivernale. Mais j’ai su dépasser assez rapidement cette bonne vieille peur du ridicule, ce stress de ne pas être à la hauteur. Un euphémisme lors,que l’on mesure joyeusement 1m59.
Et je me suis accroché, après tout je n’allais pas rater cette si belle occasion de m’entraîner aux côtés de Charlotte Morel, triathlète professionnelle française.
S’entraîner avec la championne Charlotte Morel
Première sortie pour démarrer les hostilités. Le vélo. Et merde. Je suis démasquée dès la première heure… baskets vs pédales automatiques. Pas de casque. Pas de dégaine. Et une forte tendance à prendre les virages en slow motion en prenant bien tout, je dis bien tout, l’espace. Un rond-point plus tard ( ma hantise) je me retrouve vite larguée obligeant Pierre Cayeux à jouer les serres files pour retraités. Passée les premières minutes « putain je vais mourir », je trouve petit à petit mes marques. Ce n’est pas facile, la circulation me fait parfois flipper, j’ai des bribes de souvenirs de mon code de la route « euh là c’est une priorité à droite…non…attends je freine pour voir…attends…ok c’était pas une priorité oups ». Au final je m’accroche, je finis par kiffer les paysages même si je ne peux toujours pas desserrer un pouce du guidon pour boire. Tant pis. Mais je passe de 25km/h à 32 et finis par me réconcilier avec le bicloune. SORTIE VÉLO CHECK !
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Je t’épargne la soirée restau super sympa, le réveil qui pique…passons directement à la deuxième sortie du dimanche : le petit run ! Chouette, enfin quelque chose que je sais faire. Enfin…oui et non. Comparé aux ultra traileurs et triathlètes de la première heure j’essaie surtout de m’accrocher ! Charlotte est hyper accessible, le cadre superbe, le soleil tape ce qu’il faut…le retour du D+ après la Sainte Victoire réveil les cuissots mais globalement tout est au beau fixe . SORTIE TRAIL CHECK !
Et pour finir, bien entendu, nous n’allions pas échapper à la partie natation. Oulalala comme j’aime me balader en maillot de bain. Vite un plouf gracieux dans l’eau histoire de cacher tout ça. L’eau n’est clairement pas mon élément, je suis bien les pieds sur terre personnellement. Mais à force de conseils (merci Charlotte) et d’aller-retour dans notre ligne agréablement déserte j’ai finis par me dire qu’il y avait un espoir et que je pourrais un jour peut-être, avoir un crawl décent. A travailler bien entendu !SORTIE NATATION CHECK !
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S’entraîner pour un triathlon, à Paris….
Alors du coup, la conclusion de tout ça c’est que, sans grande surprise, je trouve très agréable de pouvoir varier les plaisirs et les sports. Dans un contexte où je commence à avoir quelques douleurs et le besoin de faire autre chose que courir, courir et toujours courir… c’est une option qui me séduit de plus en plus. Je sais très bien qu’il est déjà exigeant de s’entraîner et de performer dans chacune des disciplines…alors les enchaîner…mamamia ! Cela m’a dans tous les cas réconcilié avec le vélo et la natation, même si je continue de penser que c’est beaucoup plus agréable de pédaler sur le front de mer que dans les embouteillages parisiens et de patauger dans une immense piscine avec sa propre ligne plutôt que de jouer des coudes dans un mini bassin. Bref…le triathlon c’est bien, à Paris c’est tout de suite moins sympa !
La bienveillance chez les sportifs
Petite aparté. Oui je sais, j’ai dit que je développerais deux points : triathlon et compex, et je commence déjà à faire des petits paragraphes parpaings supplémentaires. C’est mon article, c’est moi qui commande. Je disais donc…petit aparté sur l’ambiance et la gentillesse du groupe. Lorsque nous avons commencé à faire un tour de table, j’ai vite compris la triste réalité. Je me hissais fièrement en top 1 de la catégorie boulet. C’était écrit. Je me suis même un peu sentie comme le con, du diner de cons, quand il commence à comprendre qu’il y a un décalage conséquent entre lui et le reste du monde.
Mais, parce qu’il y a un mais, j’ai été vite rassurée par la gentillesse et la patience des personnes présentes. Pour te faire le portrait-robot de notre joyeuse équipe, je dirais simplement que leur CV respectifs étaient assez éloquents : triathlon, ironman, ultratrail et compagnie…et que j’étais donc la digne représentante de l’espèce hobbit au milieu de mecs affutés! A annoncer timidement « non mais moi je suis juste venue découvrir le triathlon, suis pas venue là pour souffrir » !
Dans un contexte où j’entends et lis parfois des commentaires plus ou moins humiliants et pas toujours très encourageants de certains pratiquants qui mesurent la valeur d’une personne à son chrono et à ses RP…j’avais un peu peur. Et puis finalement, entre conseils et bienveillance générale je me suis sentie, à ma place.
Compex, mon partenaire électrostimulateur
A quelques petites consonnes, voyelles prêt… on tombait dans la saga publicitaire. Pour les survivants de cet article qui auront eu le courage de le parcourir jusqu’ici, vous avez bien fait ! Pourquoi ?
Parce que Compex, c’est de la dynamite ! (comment ça c’est de la dynamite ??? c’est pas plutôt électrique ce truc ?) . Oui bon, tu m’auras compris.
Le principe d’électrostimulation me fascine, d’autant plus lorsqu’il est repris dans un tout petit boîtier, avec des toutes petites électrodes et qu’on peut l’utiliser partout, hyper facilement. C’est la promesse de Compex qui se fait petit, pratique et qui permet de bénéficier des nombreux intérêts de l’électrostimulation à domicile ou à emporter.
Les bénéfices de l’électrostimulation
Alors justement…quels sont-ils tous ces bénéfices ?
Compex, allié de la récupération
Personnellement et comme beaucoup d’entre nous, j’ai tout d’abord connu Compex pour ses propriétés de récupération. L’électrostimulation est en effet devenue une des techniques plébiscité par tous pour mieux récupérer.
Pour citer les experts… Le premier effet du programme est de favoriser une forte augmentation de la circulation sanguine dans la zone stimulée, ce qui favorise le drainage et l’élimination des déchets musculaires. Le second effet, très connu du milieu médical, est le soulagement de la douleur, lié à la production naturelle de substances analgésiques telles que les endorphines. Le troisième et dernier effet est la réduction du tonus musculaire, c’est-à-dire la diminution de la tension des fibres musculaires engendrée par une sollicitation musculaire intense.
Tu trouveras sur cette vidéo hyper claire de la marque plus d’informations à ce sujet :
Cap sur les abs !
J’avais déjà été sensibilité, c’est le cas de le dire, à l’utilisation de l’électrostimulation pour le renforcement. Sans surprise les effets ont vraiment surprenants et permettent de mobiliser de manière très efficace les zones concernées…mes abdos sentent la merguez après chaque session et concrètement je sens vraiment les résultats depuis que j’utilise le programme sculpter ses abdos sur ma tablette de chocolat !
Chasse aux douleurs
C’est le programme que j’ai le moins utilisé pour l’instant…j’aimerais bien te dire que c’est parce que je n’ai pas de douleurs…mais non ! je n’ai juste pas eu le temps de décortiquer mon compex comme il se doit !
Il existe 3 types de douleur qui peuvent être traitées avec l’électrostimulation :
– Les douleurs purement articulaires, ligamentaires ou de type névralgique pour lesquelles le programme TENS est préconisé. Ce programme délivre des fourmillements.
– Les douleurs d’origine musculaire de type contractures récentes et aiguës pour lesquelles le programme Décontracturant est indiqué.
– Et enfin les douleurs d’origine musculaire chroniques telles que les contractures installées pour lesquelles le programme de Douleur musculaire est la solution.
Et … le bien être !
Parce qu’il n’y a pas forcément besoin d’être un sportif de l’extrême, de vouloir sculpter ses abdos ou d’avoir mal partout, Compex est aussi très utile pour prendre soin de son corps, tout simplement. Pour soulager ses jambes lourdes, traiter les petites douleurs au dos ou tout simplement aider son corps à se sentir au top de sa forme… il y a forcément un programme qui saura te séduire !
L’aventure Compex commence donc maintenant, tout comme l’aventure Triathlon que je souhaite continuer!
Merci à toute l’équipe de Compex pour ce week-end passionnant qui m’a permis de tester ce super produit et de me remotiver pour une reprise (lente) du triathlon ! Merci à l’équipe de Bernascom qui a géré d’une main de maître ce week-end au tempo bien rôdé ! Et un grand merci à Charlotte pour son accessibilité et sa gentillesse…
Photos @Frédéric Poirier
Je trouve que la plus grande qualité de tes articles est de donner l’impression que l’on passe un bon moment avec une copine.
Sous tes airs de je doute ect… ce cache une fameuse plume .
Au top !!
Oooh merci beaucoup c’est très gentil ! Fameuse je ne sais pas…mais je prends plaisir à écrire en tout cas !