Avant de te parler de mon équipement de trail en hiver, laisse-moi te dire comment j’en suis arrivée là tout de même ! Comment je me suis retrouvée dans cette nouvelle aventure… toujours dans le froid polaire, puisqu’il semblerait que mon expérience sur la SaintExpress ne m’ait pas totalement rebutée.
Je rempile donc, version Reine des Neiges, supplément flocons glacés, en me lançant cette fois-ci sur le Half Winter Trail. Un parcours de 14 km avec un petit D+ de 743m.Jusqu’ici cela semblerait presque facile. Non ? Sauf qu’à Paris, la neige… on ne la voit pas beaucoup. La pluie oui. La neige, non. Donc, c’est une vraie première pour moi : me lancer dans la neige. Sans ski. Sans raquettes. Sans luge… Bref de m’élancer dans la neige avec comme accessoires mes deux petites jambes et mon courage à deux mains. Enfin à deux gants.
Et justement : outre les gants, il va falloir un peu s’équiper. Je sais que l’équipement en trail ne fait pas le moine, mais en hiver, il change complètement l’expérience. Après la SaintExpress, j’avais déjà testé une partie de ma tenue trail hiver, histoire de ne pas finir en glaçon. J’avais même couru une portion dans la neige, pour voir. Mais le trail dans la neige nécessite quelques ajustements : le terrain glisse, le froid pique, et le corps réagit différemment. L’objectif, c’est de rester au chaud tout en restant libre de ses mouvements, d’éviter la double erreur classique : partir trop couvert et finir trempée, ou partir trop léger et ne jamais réussir à se réchauffer et d’éviter de se transformer en Bambi sur une patinoire.
Bref : il m’a fallu adapter mon matériel, rien de révolutionnaire, juste des petits réglages qui font une vraie différence une fois dehors. On parle ici d’ajuster, pas de tout racheter : bien choisir ses couches, anticiper l’humidité, protéger les zones sensibles et adapter l’accroche selon le terrain.

Sommaire
L’équipement en trail
Avant même de parler d’hiver, de flocons ou de verglas, il y a déjà une base importante quand on parle d’équipement en trail. Le trail, c’est courir en extérieur, sur des terrains irréguliers, changeants, parfois techniques, parfois roulants. Et c’est justement cette variété qui demande un minimum d’anticipation. La différence avec la course sur route, elle se joue surtout dans l’adaptabilité : tu ne vas pas toujours pouvoir compter sur un revêtement stable ou un parcours plat.
L’idée, c’est vraiment de trouver un équilibre entre confort, liberté de mouvement et sécurité. On ne cherche pas à s’alourdir, ni à se transformer en randonneur chargé pour trois jours d’autonomie, mais simplement à être suffisamment équipé·e pour rester fluide dans l’effort.
Les chaussures de trail, c’est souvent le premier point essentiel. Pas besoin d’un modèle ultra-technique pour commencer, mais une semelle avec du grip fait déjà toute la différence. Sur terrain humide, boueux ou caillouteux, l’accroche évite les glissades inutiles et permet de rester confiant·e dans sa foulée.
Ensuite, vient la question des couches. Même en dehors de l’hiver, le corps transpire et il faut évacuer cette humidité pour ne pas se retrouver trempé·e et frigorifié·e (même en été, le vent fait vite son job). Une première couche respirante est donc la base. Puis selon la météo : un T-shirt, une polaire légère, un coupe-vent… Pas besoin de multiplier les pièces : le bon vêtement, au bon moment. Et surtout, une pièce qui respire toujours, même si elle est chaude. Le confort en trail vient plus de la régulation que de l’épaisseur.
L’hydratation est un autre point clé. Même sur un “petit” trail, tu peux vite manquer, surtout si tu es en montée prolongée. Un camelback ou deux flasques suffisent souvent. L’objectif : boire régulièrement, sans attendre d’avoir soif.
Et puis la nutrition, même si ce n’est que quelques bouchées : une compote, une pâte de fruits, une barre. Ce n’est jamais la quantité qui compte, mais la régularité.En hiver, c’est encore plus vrai : le corps brûle davantage pour maintenir la température, donc l’énergie descend plus vite.

Comment s’équiper pour un trail en hiver
L’équipement trail en hiver doit d’abord répondre à un point essentiel : garder ton corps à la bonne température, sans te transformer en sauna ambulant ni en glaçon après dix minutes.
Parce que l’hiver, ce n’est pas juste froid : c’est froid + vent + humidité. Et ces trois-là combinés peuvent vraiment changer ta course.
« Facile… je chope ma tenue spéciale Jean Claude Duss et on est paré les amis ».
…ou pas! Car n’oublions pas que c’est un trail et pas une soirée Folie Douce ! L’objectif, c’est de rester libre dans tes mouvements, de pouvoir respirer, bouger, accélérer, marcher, repartir, sans jamais avoir à gérer un corps qui surchauffe ou qui gèle.
D’où l’importance d’avoir une vraie tenue trail hiver, pensée pour l’effort, pas pour la balade.
Là où tu peux improviser sur un trail d’été, en attrapant un short et un t-shirt, en hiver l’impro = punition :
- soit tu ne seras pas assez protégé·e
- soit tu vas transpirer trop vite et te refroidir derrière
- soit les deux (et là, joyeux combo)
Tout se joue dans la gestion des couches :
- Une première couche qui évacue l’humidité (pas du coton, jamais).
- Une deuxième couche qui garde ta chaleur (mais sans emprisonner).
- Une troisième couche qui protège du vent et du froid extérieur.
Ce n’est pas d’en mettre plus, c’est d’en mettre juste assez.. Parce qu’en hiver, tu dois avoir un tout petit peu froid au départ. Si tu pars en ayant vraiment chaud, c’est rassurant bien entendu au début mais → tu vas transpirer → te mouiller → refroidir → et ça peut vite transformer ta sortie.
Haut du corps – équipement trail hiver
Pour le haut du corps, tout se joue dans l’équilibre entre rester au chaud et ne pas surchauffer. Et quand on est très frileuse (coucou), la tentation de partir avec une couche de plus “au cas où” est énorme. Le problème, c’est que cette couche en trop finit généralement par nous jouer un sale tour : on part bien, on a chaud, on transpire… et on se retrouve trempée. Et une fois que tu es mouillée en hiver, tu refroidis beaucoup plus vite, et là, le reste de la course peut vraiment devenir pénible.
La tenue trail hiver qui fonctionne repose vraiment sur une chose toute simple : la règle des trois couches. Pas parce que “c’est la règle”, mais parce que ça marche dans la vraie vie, sur le terrain.
- La première couche, c’est la plus importante. Elle est collée à la peau et c’est elle qui gère l’humidité. Pas de coton, jamais. Le coton garde l’eau, donc garde le froid. Une première couche en mérinos (ou un textile thermique respirant) évacue la transpiration tout en maintenant une petite chaleur constante. C’est ce qui fait que tu ne te retrouves pas glacée dès que tu ralentis ou que le vent se lève.
C’est le sous-couche que je mets quand il fait froid mais que je sais que je vais bouger. Doux à l’intérieur, respirant, il garde la chaleur sans enfermer. Je l’utilise sur **la plupart** de mes sorties hivernales, surtout quand je sais que je vais monter en température.
Voir sur i-Run- La deuxième couche sert à garder la chaleur. Pas besoin de quelque chose d’épais : un manche longue légèrement doublé, ou une micro-polaire fine, suffit largement. L’idée, ce n’est pas de “se chauffer”, c’est de garder la chaleur que ton corps produit en courant. Et si tu sais que tu chauffes vite, privilégie une deuxième couche zippée : pouvoir l’ouvrir de 2 cm peut faire une énorme différence sans retirer la couche.
- La troisième couche, c’est celle qui te protège de l’extérieur : le vent, l’humidité, la neige. C’est souvent elle qui change la sensation globale. Un coupe-vent léger si la météo est stable, une veste déperlante si ça peut alterner, une membrane type Gore-Tex si tu sais qu’il va faire froid + vent + flocons.
C’est ma veste « bouclier » quand il fait froid + vent + humidité. Elle coupe super bien le vent (tu sens directement la différence sur les descentes) et l’isolation est justece qu’il faut pour rester au chaud sans bouillir. Je l’utilise dès que ça souffle fort en montagne ou en sortie longue hivernale.
Voir sur i-RunEt là, vraiment, le repère le plus important (surtout pour nous les frileuses) : tu dois avoir un tout petit peu froid au départ. Si tu pars en ayant “pile chaud”, ça veut dire que tu as trop mis.
Tu vas chauffer → transpirer → refroidir derrière → et tu vas passer la course à gérer tes couches au lieu de profiter.L’objectif, c’est d’être bien à partir du kilomètre 2. C’est ce moment-là qu’il faut viser, pas le départ.

Bas du corps – équipement trail hiver
Pour le bas du corps, c’est souvent plus simple qu’on l’imagine, mais c’est aussi là qu’on peut vite se tromper. Quand on a froid, on pense qu’il faut ajouter des épaisseurs. Alors qu’en réalité, le bas du corps chauffe très vite en courant. On produit beaucoup de chaleur au niveau des jambes (cuisses + fessiers = deux moteurs en permanence). Le but, ce n’est donc pas de “se couvrir”, mais de garder une chaleur confortable tout en évacuant l’humidité.
En hiver, un collant de trail bien choisi suffit souvent. Pas besoin de sur-coucher dès que la température baisse. Ce qui fait la différence, c’est la matière. Un collant thermique ou simplement un collant avec intérieur légèrement gratté garde la chaleur sans enfermer ni coller l’humidité. Ça évite l’effet “plastique” que tu peux avoir avec certains textiles trop compressifs ou trop synthétiques.
Si tu es frileuse (comme moi), il peut être tentant de mettre un short par-dessus ou une sur-couche dès le départ. Le problème, c’est que tu vas monter en température très vite, et tu vas regretter ta couche en trop à partir du premier faux-plat montant. Mon compromis préféré, c’est d’avoir un collant thermique fin et, si besoin, un short coupe-vent léger par-dessus, juste pour protéger les fesses et le haut des cuisses du vent. Ça ajoute du confort sans enfermer la chaleur.
Là où il faut être attentive, c’est à l’humidité.Si ton colla nt retient l’eau, que ce soit la transpiration ou la neige fondue, tu vas refroidir d’un coup. C’est pour ça que le coton ou les matières “douces mais épaisses” sont de fausses bonnes idées : elles gardent l’humidité au lieu de l’évacuer. Un collant conçu pour le trail ou le running en hiver est pensé pour sécher vite.
Mon collant d’hiver depuis plusieurs saisons : intérieur doux, chaud sans étouffer, et il sèche vite. Parfait quand il fait froid mais que tu veux rester fluide en course.
Voir sur i-RunEt s’il y a du vent fort ou des températures négatives ?
Dans ces cas-là, un pantalon coupe-vent ultra-léger en sur-couche peut être un vrai plus. Pas un gros truc, juste une protection fine, qui bloque le vent sans retenir la sueur. Tu peux le mettre au départ, et le retirer si tu sens que tu chauffes. L’idée, encore une fois, c’est l’adaptabilité.
Le bas du corps est la partie la plus “ingrate” dans le sens où si tu as trop chaud, tu ne peux pas retirer ton collant comme tu retires une veste. Donc le bon choix se fait au départ.

Accessoires (gants, bonnets, lunettes) – tenue d’hiver
Les accessoires, c’est souvent ce qui fait la différence en hiver. Tu peux avoir une bonne veste, de bonnes chaussures, si tu as les doigts gelés ou les oreilles en feu, tu vas juste penser à rentrer. Les extrémités sont les premières zones où le corps coupe la chaleur, donc si elles sont mal protégées, tout devient inconfortable très vite.
Pour les mains, l’idée ce n’est pas d’avoir les gants les plus épais possibles, mais des gants respirants, qui laissent sortir l’humidité. Sinon, tu vas transpirer dedans, puis refroidir dès que tu ralentis. J’ai appris à partir avec des gants moyens, qui tiennent chaud juste ce qu’il faut quand le corps s’active, et à garder une paire légèrement plus chaude dans le sac pour les moments d’arrêt ou si la météo change. Ça paraît simple, mais ça m’a sauvé plus d’une fois.
Pour le froid vif, j’aime bien ce combo bonnet+gants Salomon : chaud, coupe-vent, et simple. Un incontournable pour les sorties au lever du jour.
Voir sur i-RunPour la tête, même logique. Le bonnet trop chaud, c’est l’assurance d’être trempée dessous. Un bandeau suffit souvent si tu chauffes vite, surtout pour protéger les oreilles (c’est souvent là que ça pique en premier). Si tu es plus sensible au froid, un bonnet fin et respirant fonctionne très bien, mais toujours quelque chose qui évacue. On cherche du confort, pas l’effet sauna.
Le tour de cou, c’est probablement l’accessoire que je sous-estimais le plus au début. Un buff léger te permet d’ajuster facilement : autour du cou, sur la bouche si le vent siffle, ou même en bandeau de secours. Et vraiment, en avoir un deuxième sec dans le sac, ça change tout si le premier devient humide.
Pour les pieds, ce ne sont pas les chaussures qui font le chaud, mais les chaussettes. La laine mérinos est, clairement, le meilleur choix en hiver : elle garde la chaleur, même quand elle est un peu humide, et elle reste confortable. Ça évite l’effet “pieds glacés” dès que tu ralentis. Et oui, une paire sèche dans le sac, c’est la meilleure décision morale que tu peux prendre.Enfin, si tu as les yeux sensibles au vent ou si tu cours en altitude, une paire de lunettes peut éviter les yeux qui coulent en continu. Ce n’est pas indispensable pour tout le monde, mais quand tu en as besoin, ça change vraiment la sensation sur le visage.
Équipement trail dans la neige – les particularités
Quand on passe de l’hiver “classique” à la neige, ce n’est plus seulement une question de se tenir au chaud. C’est le terrain qui change tout. La neige peut être poudreuse, tassée, gelée, lourde, transformée… et tu peux avoir tous ces types sur un même parcours. Le mot à retenir ici, c’est accroche. Si tu glisses, tu perds de l’énergie, tu te crispes, tu changes ta foulée, et ça devient vite une course qui se subit au lieu de se vivre.
La base, c’est donc les chaussures. Pas besoin de racheter une paire “spéciale neige” si tu n’en fais pas tous les quatre matins, mais une chaussure avec une vraie semelle crantée change tout. On parle de crampons “profonds”, qui mordent un peu dans la neige et ne se lissent pas au contact de l’humidité. Les modèles typés terrain gras fonctionnent très bien dans ces conditions. Si tu cours avec une semelle trop lisse, tu vas passer ton temps à compenser, à raccourcir tes appuis, à lever les genoux plus haut… bref, tu vas t’épuiser pour rien.
Quand la neige est tassée ou semi-gelée, là, les chaînes type Yaktrax sont clairement utiles. Pas tout le temps, pas sur toute la course, mais dans les sections où la neige est dure, elles t’évitent de glisser une fois sur deux et de courir crispée. Le plus simple, c’est de les garder accessibles (ni sous 12 couches, ni au fond du sac), pour les mettre et enlever rapidement selon les portions.
Pour les portions gelées ou bien tassées : ces chaînes tout-terrain évitent les glissades et te permettent de garder l’appui sans stress. Je les glisse dans le sac avant chaque gros dénivelé hivernal.
Voir sur i-RunEt puis il y a les guêtres. Pas obligatoires, mais vraiment utiles quand la neige est fraîche ou profonde. Leur rôle est juste d’empêcher la neige d’entrer dans la chaussure — parce que si la neige fond dans la chaussure, tu finis avec le pied trempé, et là, plus rien n’est confortable. Ce n’est pas un accessoire “pour faire pro”, c’est juste pour garder les pieds secs, et donc chauds.
Enfin, côté foulée, l’important est de rester souple. Ne cherche pas à aller vite, ne “force” pas la pose du pied. Pose plus à plat, un peu plus court, et laisse le pied s’adapter naturellement. Plus tu cherches à contrôler, plus tu perds en fluidité. Moins tu te crispes, plus tu fais confiance au pied, plus ça passe.
Courir dans la neige, c’est une sensation très particulière : tout est plus silencieux, les appuis sont plus doux, c’est presque plus “posé”. Et quand l’accroche est bonne, c’est vraiment un plaisir. Le but de l’équipement, c’est juste d’arriver à ça.
La liste – équipement pour un trail en hiver, en mode trail blanc
Mon sac étant ( presque ) prêt pour le Winter trail il se compose …

L’indispensable
– Chaînes (type Yaktrax) en cas de verglas ou de dénivelé important sur neige dure
– Les chaussures : je partirais avec mes Hoka Challenger ATR3 .. Elles en ont vécu des courses et de la boue et commencent un peu à fatiguer mais avec les Yaktrax seront au top
– Mon camelback Waa-ultra, que je testerais pour la première fois !
– Ma veste Gore-Tex Shakedry Running qui a déjà fait ses preuves sur la SaintExpress
– Mes gants achetés à l’arrache pour la SaintExpress
– Ma garmin forerunner 735xt,
La tenue de trail en hiver:
– 2 paires de chaussettes Bvsport , sur les conseils de Mike roudoudou je garderais une paire sèche dans mon sac qui me permettra de switcher en cours de route pour éviter que mes pieds d’hobbit moisissent
– Mon legging Mizuno qui en a pas mal bavé lui aussi sur mes précédents trails et est donc prêt à en découdre. Et le petit short Odlo bien chauffant histoire de garder mes petites fesses au chaud
– Ma brassière Kalenji jealousboobs hyper confortable et mon boxer Kalenji afin d’être bien confort jusque dans les sous-vêtements
– Mon manche longue Odlo thermo qui a bien fait ses preuves jusqu’ici
– Mon deuxième manche longue, ma veste Mizuno parce que je vais vraiment me les peler
– 2 buff pour protéger le cou et switcher si besoin en cours de route
– Mon bandeau Salomon qui ressemble à peu près à ça…et qui me fait une bonne grosse tête de teub mais bon au point où j’en suis franchement…
ET LA BOUFFE ?
Petit conseil ….mets une boisson chaude dans le bidon pour éviter le gel et n’oublie pas de manger comme un ventre car le corps brûle beaucoup plus de calories dans le froid… Mets des protections néoprènes pour éviter que l’eau gèle. Comment ça moi je ressemblerais à un Mr Freeze mais mon eau sera toujours potable. Youhou !
Au final, courir en hiver ou dans la neige, ce n’est pas si différent. Il suffit juste d’anticiper, de ne pas s’habiller contre la peur du froid, et d’accepter d’avoir un peu froid au début. Et une fois que le corps se met en route… on retrouve le même plaisir. Juste plus silencieux. Et un peu plus blanc.
7 réponses
C’est intéressant de savoir comment les autres coureuses s’habillent en hiver. Perso, j’ai aussi opté pour la triple épaisseur sur le haut du corps et j’ai découvert la laine mérinos. Elle est idéale pour ses capacités à conserver la chaleur du corps tout en étant respirante ((une merveille de la nature, qui en plus limite les mauvaises odeurs contrairement aux matières synthétiques). Du coup, je me suis acheté un tee-shirt à manches longues et un collant aussi. Je l’utilise en dessous de mon legging quand le thermomètre est vraiment bas (je suis très frileuse^^). Par contre pour les mains, je n’ai pas encore trouvé le bon équipement (j’ai très souvent froid aux doigts)…si certaines runneuses ont des pistes pour moi, je suis preneuse.
Hello Elodie ! Très intéressant effectivement j’aimerais bien aussi investir dans du mérinos il paraît que c’est miraculeux ! Pour les doigts tu peux peut être tester une petite chaufferette pour te réchauffer les mains avant de commencer? J’ai le même problème je mets du temps à me réchauffer les doigts c’est souvent peu agréable…tu as aussi des gants chauffants, je sais que ça existe pour le ski, je ne sais pas si ils font le même genre de modèle pour le running ! ou alors un modèle fin en soie et au-dessus des gants plus chauds….
Merci pour les idées ! J’ai eu des retours positifs à propos des chaufferettes mais c’était par des skieurs donc à tester !
Super merci pour ces conseils c’est très utile ! J’hésitais à acheter des Yaktrax justement
« sauf que la neige à Paris on en voit pas beaucoup » … 😉 du coup tu peux ressortir tes Yatrax!
Bonjour! En totale novice, j’ai adoré les conseils sur ton site et c’est en plus super drôle. Merci pour ces précieuses indications, je vais me lancer!
Hello Lauren,
Avec plaisir, ravie que cela puisse servir !
Très bon trail blanc alors 😀
Camille